Depuis le début des années 2000, les éditeurs et les constructeurs se sont attachés à proposer plus de services autour de la donnée, sa sécurisation, sa redondance, sa réduction, sa meilleure intégration dans les systèmes informatiques. Désormais, l’aspect opérationnel revient sur le devant de la scène. Parce que les métiers ont largement introduit la donnée dans leurs pratiques, ils manifestent des besoins en outils nouveaux, plus rapides, plus réactifs. Les équipes des systèmes d’information sont sollicitées et doivent dégager autrement plus de temps que ne leur laisse l’administration courante des infrastructures. Ce phénomène engendre de nouvelles demandes : plus de simplification, d’automatisation, de transparence, qui se traduisent par deux courants principaux. D’un côté, il s’agit d’assurer la sécurité, la disponibilité et la performance de la donnée. De l’autre, de disposer de systèmes les plus intégrés possible, capables à la fois de simplifier par l’automatisation le métier des administrateurs et de s’adapter à des besoins en performance de plus en plus imprévisibles.