« Des options plus ou moins équivalentes à VMware, il y en a », remarque Thomas Leconte. « Chez HPE, nous savons que la transition prendra du temps, peut-être beaucoup et qu’elle aura pour effet de créer de nouveaux silos technologiques, s’ajoutant aux existants et à un legacy qui persiste, quoi qu’on en dise. Se diriger vers des systèmes ouverts est indispensable, et l’honnêteté intellectuelle commande de ne proposer que des solutions standardisées, maintenues sur le long terme et sécurisées à l’état de l’art. En l’occurrence, c’est l’ADN de HPE. Mais ce n’est pas suffisant. Nous sommes convaincus qu’une véritable industrialisation passe par une gestion unique de l’entièreté des environnements, sans quoi cette extrême hétérogénéité échappera au contrôle des équipes au prix de risques majeurs ».