Sans surprise, y aller. Mais comment ? Et pourquoi ? Vous comprendrez que c’est en premier lieu une question de cybersécurité, une responsabilité que nous devons aujourd’hui tous prendre à bras le corps. C’est aussi un enjeu de productivité qui n’a plus rien à voir avec les concepts traditionnels de travail de bureau. Mais il y a des étapes, qu’il ne faudra pas brûler, avec les IA génératives notamment.
Sans surprise, y aller. Mais comment ? Et pourquoi ? Vous comprendrez que c’est en premier lieu une question de cybersécurité, une responsabilité que nous devons aujourd’hui tous prendre à bras le corps. C’est aussi un enjeu de productivité qui n’a plus rien à voir avec les concepts traditionnels de travail de bureau. Mais il y a des étapes, qu’il ne faudra pas brûler, avec les IA génératives notamment.
Pour beaucoup d’entreprises, le digital workspace ne concerne que le poste de travail (device, laptop, nous vous laissons le choix du terme). C’est une définition trop incomplète pour saisir l’ampleur des transformations en cours. « L’environnement utilisateur se compose en effet du device mais aussi et surtout de l’écosystème de solutions et d’applications qui en font toute son utilité quotidienne » explique Pierre ROY, CTO End User Solutions chez SCC.
Applications collaboratives, de partage et de gestion, de sécurité, de mobilité et d’accès à distance, chatbot, MDM, façonnent l’univers workspace des utilisateurs. Leur sélection et leur adoption conditionnent de nouveaux usages qui se répercutent sur toute l’organisation de l’entreprise et sur les conditions de renouvellement des matériels.
« Les solutions modernes s’accommodent mal d’un parc d’appareils vieillissants, c’est évident. L’enjeu aujourd’hui repose sur la capacité à adopter des rythmes de renouvellement qui correspondent au rythme soutenu des innovations applicatives. Or, il n’est pas du tout certain que tout le monde ait pris conscience de l’accélération des processus d’adoption »
Et pour cause : pour atteindre 100 millions d’utilisateurs, il a fallu 3 mois à ChatGPT contre 16 ans pour le smartphone. De quoi donner le vertige et bouleverser les cadences de prise de décision. Plus que jamais les entreprises ont besoin d’anticiper et d’accéder au conseil et aux bonnes solutions de financement, à travers des modèles locatifs plus adaptés.
D’une entreprise à l’autre, les rythmes sont évidemment très variables. On peut être tous conscients des niveaux de transformation à opérer ou encore de ceux provoqués par certaines technologies comme l’IA, sans pour autant être en mesure de passer le pas.
La prise de décision est rapide quand le calcul du ROI est simple à faire et son résultat évident. Elle devient plus délicate quand la transformation implique de passer plusieurs étapes, engendrant une conduite du changement et l’évolution de la culture d’entreprise. On aurait beau jeu de rappeler que l’immobilisme conduit au recul, mais c’est aussi appliquer en entreprise toutes les recettes d’une bonne gestion que de rénover régulièrement.
On ne le dira jamais assez : la modernisation est un gage de sécurité et de cybersécurité répondant aux mesures d’hygiène informatique désormais élémentaires. Par mesure de précaution, nous rappellerons qu’avec une fin de support de Windows 10 annoncée dans 18 mois, les entreprises dépourvues de solutions modernes de management de flottes mettront plusieurs mois à opérer leur migration, avec en toile de fond une vulnérabilité accrue au risque cyber, sans omettre la question de la disponibilité des stocks dans un cadre géopolitique instable. L’anticipation devient une condition de pérennité.
Aujourd’hui la multiplicité des éditeurs et des appareils tournant sur une variété d’OS a inondé l’entreprise, entraînant une perte de visibilité dangereuse. Assurer la cohérence du parc informatique, de sa vision et de sa gestion est aussi un enjeu de cybersécurité et le Cloud favorise la mise en œuvre de ce prérequis. « Le passage à Windows 11 est vraiment l’occasion d’adopter les méthodes modernes de management de parc informatique. La plateforme de gestion unifiée Intune réduit drastiquement la complexité des opérations informatiques », constate Claire GRANDJEAN.
Adopter une solution de Unified Endpoint Management (UEM) comme Intune permet de déployer, gérer, sécuriser, configurer tous les types de devices présents dans l’entreprise, en mode zero touch. Outre l’extraordinaire gain de temps pour les équipes IT, le modèle répond aux conditions de travail des collaborateurs en remote à temps complet. Le processus est transparent, sans interruption d’activité. « Microsoft a réalisé l’opération pour ses 200 000 employés dans le monde : nous avons déployé Windows 11 en 5 semaines. Une prouesse ? Non, Intune », sourit Claire GRANDJEAN.
« La cohérence de la gestion des devices s’impose, au titre de l’expérience utilisateur d’une part et dans un objectif de sécurité similaire, quel que soit l’appareil, d’autre part. On sait que les laptops sont souvent très bien sécurisés et que les smartphones le sont moins » complète Pierre ROY.
Dès lors, avec un parc moderne et sécurisé, tout devient possible.
Nous le savons, le workspace de demain fait la part belle à l’intelligence artificielle et en particulier aux IA génératives. Pour y accéder, un environnement moderne s’impose puisque l’IA demande de la puissance, de la sécurité et des données de qualité.
On pourrait s’interroger sur la pertinence d’une présence constante d’un assistant d’IA auprès des métiers. Après tout, de multiples propositions sous couvert d’innovation n’ont pas apporté les avantages espérés. Ici, les chiffres parlent d’eux-mêmes. Entre l’adoption massive et les gains de productivité engendrés, les IA s’engouffrent en réponse à un besoin dont l’ampleur n’avait peut-être pas été bien identifiée : « la demande de production de contenus en entreprise est très forte. Disposer d’un assistant qui sache réaliser des résumés de meeting auxquels on n’aura pas nécessairement participé, d’extraire les informations utiles de longs documents ou des mails non lus et urgents se révèle à l’usage extrêmement précieux », constate Claire GRANDJEAN.
Les IA génératives soulagent de la surcharge de réunions et de données d’entreprise la catégorie des information workers. Les premières études font ressortir des taux de gains de temps de l’ordre de 10 heures par mois[1].
Rappelons dans un premier temps qu’il existe de nombreuses IA et rien que pour Microsoft, il existe autant de Copilot qu’il existe de solutions Microsoft. Dans le cadre des solutions workspace, deux nous intéresse particulièrement : Windows Copilot et Microsoft 365 Copilot.
Leur usage professionnel suppose de notre part l’apprentissage du rôle particulier du manager. C’est savoir ne pas réaliser la tâche soi-même et formuler sa demande de façon claire et précise. Il y a donc une vraie formation à dispenser pour exploiter au maximum les capacités de l’IA générative. Ce sont de nouvelles habitudes de travail, que les managers expérimentés maîtrisent souvent mieux que les nouvelles générations. Enfin, c’est aussi apprendre à utiliser le temps libéré pour des missions plus créatives ou le consacrer à la réflexion et à la stratégie. On le voit, les assistants d’IA modifient en profondeur le quotidien des travailleurs.
Dans cette optique, on n’intègre pas l’IA générative comme on installe une nouvelle machine à café. Il y a aura un point d’inflexion, un taux d’adoption qui fera basculer l’entreprise dans ce que nous nommons le workspace de demain. Pour y parvenir, dresser une checklist des étapes à réaliser et des mesures à prendre peut se révéler pertinent et SCC peut vous y aider. Nous vous ferons notamment penser à mettre de l’ordre dans vos données. N’oubliez pas qu’une IA générative est en mesure d’accéder à toute la connaissance de l’entreprise disponible. Il faudra alors veiller à classifier correctement afin de contrôler et de limiter ses accès.
Les retours d’expérience montrent que vous souhaiterez rapidement aller plus loin avec votre IA telle que Copilot, de l’interfacer avec vos logiciels métiers ou de l’exploiter dans vos formations. Ce sera le signe d’une maturité acquise sur ces sujets. SCC saura vous accompagner dans tout votre parcours d’intégration.
[1] Pour plus d’informations et de résultats, lire le rapport spécial sur l’indice des tendances du travail de Microsoft
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